L’histoire racontée à la première personne, est celle d’un amour de jeunesse qui n’arrivera jamais à maturité. Purement fictive, elle fait remonter le temps : l’attentat manqué contre Hitler en 1944, la résistance, l’après-guerre. Elle nous emmène d’un château en Vendée à la médina de Marrakech, d’un monastère breton à «La petite Côte» du Sénégal. Elle met en scène la difficulté et la richesse du brassage des milieux sociaux dans les années 68.
Un fils du peuple peut-il épouser une princesse russe?
Un roman intime, riche en rebondissement.
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Fabrice Mosneron Dupin
Cher Paul
Je sors de Timadeuc, et je te remercie sincèrement pour ces belles pages et ces beaux moments que tu m’as fait passé en compagnie de Michel, Ulrich et Alexandra, d’Anton et des frères de Timadeuc.
J’ai beaucoup aimé. Tu traces, comme dans ton livre précédent, des portraits d’une grande finesse, à petites touches de sensibilité et de délicatesse. On sent que tu prends soin d’eux, j’imagine que tu vis avec eux pendant de longs mois, que tu ressens chacune de leurs émotions avant de les décrire si fidèlement. Ce doit être épuisant!
Les relations que tu leur fais vivre sont à cette image, toutes en nuances, prudence, pudeur, même pour décrire cette passion envahissante.
Et puis tu oses, ce que nos bonnes sociétés se gardent de dévoiler, c’est courageux.
Merci donc de partager ce beau récit et de nous faire connaître ces personnages très attachants.
Amicalement
Fabrice