Au-delà d’une carrière professionnelle au service des Entreprises dans le secteur bancaire, Didier GIROUD-PIFFOZ a commencé à publier en 1973, à l’âge de 25 ans. De 1973 à 1983, ont été publiés un essai : « Le Sang et la Lumière » consacré à une procession pénitentielle corse, le Catenacciu de Sartène, et onze recueils de poésie, dont « Des Soleils Ivres » Prix Marie-Noël 1975.
Puis Didier Giroud-Piffoz s’est engagé, en 1984, avec son épouse Maeva, dans un combat humanitaire en Inde, qui a éclipsé toute velléité de création littéraire, un combat qui se poursuit encore aujourd’hui au travers de l’association REGARDS ET ALLIANCE, qu’ils ont créée en 1987 et qui travaille en faveur de lépreux (chirurgie reconstructrice, réinsertion), d’enfants handicapés (chirurgie, éducation) et de populations aborigènes (équipement, éducation, alphabétisation de femmes aborigènes).
« Une aventure essentielle - dira Didier -, qui nous a profondément enrichis et continue de nous enrichir. Car ces gens miséreux, rejetés par la société et souvent par les leurs, douloureusement touchés dans leur chair et dans leur sensibilité profonde, nous ont toujours accueillis avec une infinie tendresse. Ce sont eux qui donnent. Sans compter. Même s’ils n’ont rien. Même s’ils n’ont qu’eux.
À l’occasion d’une visite dans le Home pour handicapés de Nagpur (Inde), en octobre 1996, Didier Giroud-Piffoz et son épouse Maeva ont eu un véritable « coup de cœur » pour Deepali, une fillette de quatre ans, lourdement handicapée.
Ce livre est le récit authentique de cette troublante et déchirante histoire d’amour.
Anthologie personnelle
La poésie reste omniprésente dans ma pensée, dans ma création. Un amour de plus d’un demi-siècle. Une quinzaine d’ouvrages ou d’ensembles divers. Des plaquettes rares, petits tirages, ouvrages confidentiels, hors commerce ou de bibliophilie. Des recueils pour la plupart totalement épuisés, sans lecteur. Sans partage. Sans écho. Comme mort-nés. Et l’envie de leur donner une nouvelle vie, et l’idée de cette « anthologie personnelle », ces fragments d’écrits. Parlant de la poésie, Jean Joubert écrivait : « elle est faite pour le partage, et le poème n’existe vraiment qu’à l’instant où il est saisi par le regard et la sensibilité du lecteur. Alors, entre lecteur et auteur, s’établit, dans l’émotion, une complicité secrète. » Puissent ces poèmes, pour la plupart oubliés, tracés au long d’un parcours de cinquante années, trouver aujourd’hui ce regard et cette sensibilité du partage…
ISBN 978-2-900940-87-7 – 136 pages
Un grand-père a décidé d’écrire à chacun de ses petits-enfants, chaque mois au jour « anniversaire » de leur naissance. Des lettres pour dire « je t’aime » car on ne le dit jamais assez. Une aventure bouleversante, exaltante, terriblement enrichissante. Une fantastique aventure de quelque 19 années, qui, constatant l’adolescence des premiers petits-enfants, devra se poursuivre sous une forme plus confidentielle.
« Messages de vie offerts, témoignages vécus, agrandis, partagés d’une vie sans cesse stimulée par les choix, les goûts, les passions de cet homme. Offrande des mots, porteurs d’une infinie tendresse, cadeaux des éblouissements de cet homme confronté à l’enfance d’une fille et de plusieurs petits garçons. Plongée dans l’innocence côtoyée au plus proche. Illumination aux murmures des secrets partagés, rêves offerts, présence fiable qui semble indestructible. Tout cela donne un livre d’amour pur. »
(Extrait de la préface de Jacques Salomé)
« Rarement de ma vie j’ai lu un livre aussi pétri de tendresse, de l’amour inconditionnel le plus pur que l’on puisse imaginer. Qu’ils sont gâtés les enfants qui ont baigné dans la lumière de cet amour depuis leur plus tendre enfance. »
(Extrait de la préface de Pierre Pradervand)
« Il y a chez cet homme qui ne cesse de m’étonner et, je dois le dire, de m’émerveiller, un attachement et une confiance profonde à ce qu’il nomme l’amour : amour dans le couple, amour de la famille, amour universel qu’il manifeste lui-même dans sa vie, ses œuvres et un durable engagement humanitaire. (…) Ce monde que l’on voudrait lumineux, paradisiaque, est cependant marqué par le mal, la violence dont l’actualité ne nous fournit, chaque jour, que trop de preuves. Le grand-père témoigne, déplore, s’insurge, exprime aussi sa conviction qu’un élan d’amour vers l’autre est une véritable prière qui touche à l’universel. »
(Extrait de la préface de Jean Joubert)
ISBN 978-2-900940-46-4 – 850 pages